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El Puente Nuevo
de Ronda,
vu depuis le Parador, enjambe
le
Guadalevin et surplombe
une faille (el Tajo) de 160 mètres
de profondeur et de 60 à 80 mètres
de large.
Comme beaucoup de villages blancs andalous, Ronda a
blotti ses maisons au creux d'une falaise et s'est
accroché à une faille rocheuse pour mieux guetter
l'arrivée de l'ennemi.
Ces nids d'aigles n'ont guère changé depuis
le temps
des luttes incessantes entre
Arabes et Chrétiens.
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Dans la rue principale,
en attendant des promeneurs...
Ronda est le plus important et le plus emblématique
des villages
blancs
andalous : situé dans les sierras sauvages, il semble se protéger
du littoral et de ses foules, pourtant proches d'une cinquantaine de kilomètres. |
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Tête de taureau sculptée à l'entrée
des arènes qui constituent
l'un des grands moments de la visite de Ronda.
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La Plaza de Toros (arènes
de Ronda), vue des gradins, est le berceau de la corrida
moderne.
Construites en 1784, elles ont accueilli les
plus grands
toreros.
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Accès aux gradins
de la Plaza de Toros. |
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